Poème des Dalles
Je la sensCette centaine d’annéede genouxSous mon nez Sur les dallesDe ce XIXème étouffantNe laissant jamais rien se passerCe dédale Ne savez-vous pas que le sol n’oublie rien ?Qu’il enchâsse les instants On les sait rires étouffésMoqueries de survie Soyez addicts à la bonne foiFantasmez pour les autresBattez-vous les flancsVous le méritezC’est bienEnfants Howard Phillip